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Affiche du film L'appel des arènes

Affiche du film L'appel des arènes

  • Samedi, 14 février 2009

    Soirée cinéma en plein-air à l’Institut français Léopold Sédar Senghor. À l’affiche : L’appel des arènes de Cheikh N’Diaye.

    Malgré un style pédagogique qui agace par moments, L’appel des arènes explore l’univers du sport national sénégalais, la lutte, et les traditions qui l’entourent et nous entraîne dans le quotidien de deux jeunes issus, pour l’un, d’une famille aisée et, pour l’autre, d’un milieu démuni.

    Le film présente des scènes de lutte filmées avec un esthétisme certain et met en scène Dakar, sa corniche, ses plages.

  • Daniel BRÜHL, Julia JENTSCH et Stipe ERCEG

    Daniel BRÜHL, Julia JENTSCH et Stipe ERCEG

    Mercredi, 28 janvier 2009

    Soirée cinéma au Goethe-Institut. À l’affiche :  Les années grasses sont dernière nous (Die Fetten Jahre Sind Vorbei / The Edukators) de Hans Weingartner, 2004, 126 minutes.

    Vous vous rappelez peut-être le jeune homme d’Au revoir Lénine? Je l’ai retrouvé ce soir dans un film que je ne crois pas avoir vu sur les écrans québécois.

    Sur fond de lutte anticapitaliste, les personnages des années grasses sont derrière nous se questionnent sur la justice et son contraire. Dans la rencontre d’un militantisme à son apogée et d’un idéalisme oublié s’installe une intimité qu’on n’attendait pas.

  • Affiche du film Mère-bi

    Affiche du film Mère-bi

    Samedi, 17 janvier 2009

    Soirée cinéma en plein-air à l’Institut français Léopold Sédar Senghor. À l’affiche : Mère-bi de William Mbaye.

    Dans Mère-bi (la mère en wolof), le réalisateur présente un portrait intimiste d’Anette Mbaye d’Erneville, sa mère, première femme diplômée en journalisme au Sénégal.

    Malgré un rythme parfois rapide et l’effleurement de certains sujets qu’on aurait aimé voir abordés plus en profondeur, Mbaye fils présente un pan de l’histoire et des coutumes du Sénégal à travers la vie d’un personnage puissant tant par son charisme que par son engagement et ses relations. Aux témoignages de sa mère s’ajoutent des rencontres habilement provoquées, des images d’archives et les interventions de proches.

    Des petits bémols côté traitement et montage… que le personnage principal a vite fait de me faire oublier. Je vous souhaite que Mère-bi se rendent à vous… Parlez-en aux gens qui programment les documentaires près de chez vous !


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